samedi 8 novembre 2008

Adam Green en concert à Toulouse!!!!


Le génial Adam Green en concert le dimanche 09 novembre au Ramier.
C'est assez rare et ça sera donc ma première critique de concert avec je l'éspère de l'image et du son s'il nous laisse entrer avec nos appareils photos.

Premier post, première critique


Je sais que cette première critique écrite cet été n'est pas excellente mais je préfère la laisser comme telle pour voir s'il y aura une évolution.

Noah and the whale - Peaceful, the world lays me down

Ah Noah and the whale et leur single Five years time avec son intro de sifflements qui nous donne irrémédiablement envie de les accompagner et son refrain qui vous trotte dans la tête toute la journée sun, sun, sun, fun, fun, fun, love, love, love… la chanson faite pour l’été avec sa propre chorégraphie.
Noah and the whale et son nom improbable, un mélange du titre d’un film « The Squid and the whale » et du nom de son réalisateur, Noah Baumbach avec comme producteur Wes Anderson.
Noah and the whale et son univers particulier qui ressemble beaucoup à tiens donc Wes Anderson dont les quatre anglais sont des grands amateurs.
Leur univers entier transpire la filiation avec ce dernier il n‘y a qu‘a voir leur clip gentiment kitsch.
Leur premier effort Peaceful, the world lays me down aux sonorités pop-folk est un mélange de mélodie mélancoliques et réjouissantes avec des morceaux où Charlie Fink aurait directement emprunté le ukulélé à Zach Condon (Beirut) ou Sufjan Stevens.
Quelques fois festif comme sur Shape of my heart où la trompette intervient tout comme sur Second lover dont les toutes dernières secondes sont un appel a la fête.
L’album oscille entre ces deux sentiments sans que l’on en soit réellement dérouté.
Jocasta nous invite aux claquements de mains spontané tandis que le violon ajoute sa touche de mélancolie.
L’atout charme de cet album s’appelle Laura Marling dont on peut regretter qu’elle n’ait pas une place plus importante tant sa voix ajoute encore plus de fraîcheur à ces petites pop songs folk.
Ce premier jet n’a pas la prétention de révolutionner la musique mais nous fait passer un très «chouette» moment qui nous fait prolonger notre été et c’est bien là tout ce dont on a envie et besoin.